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Puis, toutes les deux, nous avons eu envie, dans les années , de faire nos propres chansons mais nous travaillons aussi avec des jeunes compositeurs.A lire aussi: Entretien réalisé par Fabien Perrier commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires. polo lacoste pas cher "Nous étions toujours contre l’Etat". État, gouvernement, pouvoir politique, régime?Comment des artistes grecs qui ont pour ancêtres les nombreux mélomanes que comptait d'après Platon Athènes (République ) pourraientils être contre l'État?Alors que c'est à lui de garantir l'unité, l'harmonie de la société par une juste proportion entre la musique et la gymnastique.Sélectionnez la méthode d'affichage des commentaires que vous préférez, puis cliquez sur "Sauvegarder les paramètres" pour activer vos changements.Ghassan al Ezzi, professeur de sciences politiques à l’université libanaise de Beyrouth À qui peut profiter cet attentat ?Ghassan Al Ezzi. À deux États : Israël et la Syrie. lacoste pas cher
On sait que le général Al Hassan avait réussi à démanteler une trentaine de réseaux d’espionnage israéliens. Dans le même temps, il avait réussi à déjouer des complots, contre la sécurité de l’État libanais, organisés par la Syrie. lacoste pas cher femmeOn sait que les services de renseignements syriens et israéliens sont très bien infiltrés au Liban depuis de longues années.L’opposition menée par la famille Hariri ne profitetelle pas de cet événement pour remettre en cause 
la légitimité du gouvernement libanais ?Ghassan El Ezzi. Dès le début il a été reproché à Najib Mikati d’avoir formé un gouvernement à la place de Saad Hariri. Sur le plan politique, tout oppose ces deux hommes. Le gouvernement est accusé d’être prosyrien car composé principalement du mouvement Amal, du Hezbollah et du Courant patriotique libre (CPL) du général Aoun. lacoste pas cher On a tendance à accuser la Syrie parce qu’elle a « l’habitude » de commettre des attentats au Liban, d’assassiner des hommes politiques. Mais avec le conflit en Syrie et ses échos au Liban, partagé entre pro et antiSyriens cela prend une autre tournure.Le général assassiné est accusé d’avoir soutenu l’opposition syrienne par l’envoi de combattants et d’armes. Il est donc considéré comme engagé dans la lutte contre le régime de Damas.Cela ne risquetil pas de replonger le Liban dans 
ses vieux démons d’affrontements confessionnels ?Ghassan El Ezzi. On sent une tension dans certaines parties de Beyrouth et dans les régions sunnites, communauté dont était issu Al Hassan. C’est une réaction qu’on peut comprendre. ralph lauren femme pas cher
Mais je ne pense pas que le Liban va retomber dans une guerre civile. Il ne suffit pas d’avoir des communautés qui s’opposent. lacoste pas cherIl faut des États régionaux qui soutiennent tel ou tel mouvement. Les États influents, occidentaux notamment, mais aussi la Russie ou l’Iran, ne veulent pas déstabiliser le Liban. Seul Israël a vraiment intérêt à avoir une région plongée dans des guerres confessionnelles. Au Liban, le Hezbollah, qui aurait la capacité militaire d’assumer un tel affrontement, n’a ni l’intérêt ni la volonté 
de se retrouver dans les abîmes d’une guerre civile. Entretien réalisé par Pierre Barbancey commentaire La discussion est fermée : vous ne pouvez pas poster de nouveaux commentaires.